mercredi 8 avril 2020

constat personnel sur la psychiatrie



à la lecture du poème que j'ai écrit il y a un an , je comprends , que ce qui distingue la folie personnelle de la folie psychiatrisée et infime.
Si vous me permettez la métaphore.   le suivi psychiatrique que j'ai suivi depuis lors fait de moi un , je l'ai cru a à un moment un psychiatrisé.
un patient , une identité vide, qui serait investie d'un stigmate à corrigé , à soigner.  j'ai a ce moment avec mes ressources tentés  de rejoindre une lutte contre la psychophobie mais de façon hypocrite en partie, car , je ne suis pas au jour d'aujourd'hui diagnostiqué présentant une maladie mentale chronique.

oui , il m'amuse de me genrée au  deux nom , car je pense avoir en moi autant de masculin que de féminin. ce qui fait peut être de moi un androgyne, ou je ne sais pas un farfelu.

comme si j'étais le seul fou ,dans cette pièce ,dans cette famille ,dans cet classe. a ma classe sociale n'est pas unique . amis je ressemble beaucoup   ces petits fils de bourges névrosés, qui expose par de multiples occasions leurs problèmes de façon dramatisées par surement manque de repères familiaux.

En gros, je suis un cassos ,selon mes propres termes hérités , d'un adolescence violente, encore en cours dans mon esprit farfelu et loufoque.

Oui, loufoque et pédant, et si je vous suis lourd, voire indigeste, c'est peut être parce que je suis un nèvrosé de la vie, qui n'ai pas encore pris la peine de connaitre la votre.

sur ce, je vous fiat la bise

Nathanaêl - Solune Vanden Bossche