vendredi 25 août 2017

Zone de transit

Zone de transit:


 C'est dans ce sas entre plusieurs pays que commence mon voyage.


. Dans ces centres de touristes et de businessmen que sont les aéroports. Érigés dans chaque pays, battant aux rythme du vieux capitalisme pourtant toujours vivace.


Éparpillés a travers le monde, impersonnels et pourtant familiers, l'atmosphère qu'on y trouve est à la croisé entre le quai de gare, et l'usine d'assemblage.


Ils se ressemblent tous. Dans chacun les cafés hors de prix, toujours les mêmes enseignes : Mc Do, Starbuck,BUrger King. cotoyent  les *spécialités * nationales "artisanat [made in China"] vendu à prix d'or, au grès du manque de temps et de discernement des voyageurs qui y font escale. 


Les aéroports sont des trompe l'oeilOn s'y proccure des connerie empactées produites à la chaîne. 


Dans celui de Ezeiza à Buenos Aires oû je me trouve assis sur la banquette d'une chaîne de café impersonnelle,  des voyageurs de multiples nationalités, aux multiples destinations végétent, attendant l'heure d'embarquement.


un viell homme les lunettes en écailles, attachées ensemble par un fil lis un journal de la veille, grommelant sur son équipe battue, d'un but marquée en fin de match. 


ça y est c'est l'heure !Une masse compacte tout azimute, se précipite, au comptoir d'embarquement, telle l'armée des rohirrims mené par Gandalf au Goufre de helm. Car un bagagiste n'est jamais en retard, ni en avance d'aileurs, il arrive précisément à l'heure prévue.........  en théorie. après moult guichets, me voilà arriver dans l'avion.  les aéroports sont ces lieux de triage d'être humains et de valises. enfin l'avion décolle, l'hotesse déconne.

On y achête parfois ces souvenirs factices, Hors de prix, à la dernière minute pour nos proches restés au pays. Avant d'entamer le trajet pour les rejoindre.

Et que dire de la zone "duty free", daamn,  la caverne d'alibaba des fumeurs, soifards compulsifs, ou autre addictions générées par la société de consommation et par un marketing tapageur. 


dimanche 23 juillet 2017





 Petite vue de Buenos Aires depuis les toits de ma fac ( l'Universidad Torcuato Di Tella),

 Blague à part, cette fac est géniale !! 
à l'horizon se dessine le quartier de Belgrano, il est 19h.
 la vie nocturne commence à prendre forme pendant que  la circulation bat son plein. 
L'heure de sortie des Argentins, que j'ai rencontré, s'aligne sur celle des Espagnols, les bars et restaurants commencent à afficher salles combles à partir de 21h30- 22h.

Buenos Aires est une ville composite où se cotoyent de multiples rythmes de vie. 

On peut facilement en arpentant une rue, trouver un Kiosco, sorte d'échoppe ouverte sur la rue, où l'on peut vite gaspiller ses pesos en: barres chocolatées, cigarettes, biscuits, junk food etc..
       la circulation rapide et accéléréé de la capitale, coîncide avec les horaires de bureaux, Comme partout ailleurs, on peut vite se caler sur un rythme quotidien précipité: métro, boulot, dodo. 
 Aussi dans cette vie de tout les jours rapide et exigente, on peut s'expédier vite fait, un ou deux empanadas, pour tout déjeuner.  à 12 ou 16 pesos l'empanada,( 12 pesos argentins / ARS = 0,70€ )  ça reste largement abordable .

[ note: le prix du pesos, aujourd'hui, un an après avoir écrit cette articel est de 45,5 pesos pour 1 euro]
Ce qui rend l'empanadas encore moins cher] 

Mais bon, on va plutôt parler d'endroits sympas et de spécialités locales ^^.

Une petite pause dans la journée permets de profiter


Chaque jour offre la possibilité de découvrir un nouveau restaurant, un nouveaux point de vue dans cette ville. 















Hey , 

Bienvenue, fais comme chez toi.  

Voici, le pemier article que j'écris sur ce blog, le démarrage est un peu difficle, mais ça devrait aller.^^

 Deux aspirations m'ont poussé à tenir ce blog:
D'une part , l'envie de vous tenir au courant de mes découvertes dans ce nouveau pays qu'est l'Argentine. Dans lequel j'ai vécu 9 mois de Août 2017 à Juin 2018.
.....Et qui sait, peut être que modestement mon expérience ici, que je vous retranscris, donnera envie à certains d'entre vous de venir bourlinguer  en Amérique du Sud ?........ j'en serais ravi.e 

 D'autre part, j'avais envie de garder une trace de ces jours,  de ces semaines qui s'écoulent de l'autre côté de l'Océan Atlantique, car le temps passe vite, et on ne saisit parfois pas l'occasion de capter la beauté du moment.